WASTE NOT WANT NOT*.

*said to advise someone not to waste anything, because they might need it in the future

La pollution plastique fait grand bruit aujourd’hui, car longtemps poussée hors de notre vue, les déchets par millions reviennent sur nos côtes et nous rappellent l’erreur d’avoir négligé notre impact.

Aujourd’hui en 2019, nous nous inscrivons dans les années de « dernière chance » ; la dernière génération à pouvoir faire changer les choses et retourner la situation au positif.

L’heure est au recyclage, à la consommation modérée et réfléchie, à la revalorisation, au zéro déchet…

Mais concrètement qu’en est-il de ces déchets plastiques ?

De nombreuses lois, normes, réformes sont mises en place pour recycler, éliminer, arrêter cette pollution plastique à outrance; se focalisant autour de l’usage unique ou de l’usage très limité dans le temps comme les bouteilles en plastiques, les sacs en plastique, les gobelets, etc.

Mais qu’en est-il des autres ?

Qu’en est-il du plastique industriel ?

Ces matières que l’on ne voit pas, que l’on ne soupçonne pas comme étant des pollueurs, et qui pourtant en sont bien ?

Qu’en est-il des déchets qui n’en sont pas vraiment ?

Le terme déchet n’est pas aujourd’hui utilisé à tort ?

Ne dévalorise-t-il pas des matières en étant utilisé en tant qu’adjectif ?

Je vais essayer de répondre à ces questions tout au long des textes qui vont suivre.
Toutes les matières « oubliées » ne vont pas être évoquées, mais seulement un échantillon sur lequel j’ai travaillé.

Mon point de vue sur la question de la pollution reste optimiste.
Il y a tant de choses encore à améliorer dans ce domaine, que ça en devient une source d’inspiration.

Je vais vous présenter certaines « failles » dans lesquelles je me suis penchée afin de trouverdes solutions innovantes mêlant revalorisation, économie circulaire et savoirs faire artisanaux, dans le but de valoriser ces matières misent au rebut par mes contemporains.

Jury

  • Tiphaine KAZI-TANI, présidente, personnalité qualifiée extérieure à l’établissement ; designer et chercheuse associée au CodesignLab de Telecom Paris-Tech et à la Cité du design de Saint-Étienne, associée au commissariat de la Biennale du design de Saint-Étienne, responsable du DSRD à I’ESADSE.
  • Mathieu PEYROULET-GHILINI, personnalité qualifiée extérieure à l’établissement ; designer
  • Delphine COINDET, personnalité qualifiée extérieure à l’établissement ; artiste.
  • Yannick VERNET, personnalité qualifiée extérieure à l’établissement ; responsable des projets numériques à l’ENSP.
  • Frédérique ENTRIALGO, théoricienne, docteur et enseignante à l’ESADMM.

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