Let’s drink to the lowly of birth
Raise your glass to the good and the evil
Let’s drink to the salt of the earth
Spare a thought for his back breaking work
Say a prayer for his wife and his children
Who burn the fires and who still till the earth
Swirling mass of grey, black and white
They don’t look real to me
In fact they look so strange
Let’s drink to the uncounted head
Let’s think of the wavering millions
Who want leaders but get gamblers instead
His empty eyes gaze at strange beauty shows
And a parade of gray suited grafters
A choice of cancer or polio
Swirling mass of grey, black and white
They don’t look real to me
In fact they look so strange
Let’s think of the lowly of birth
Spare a thought for the ragtaggy people
Let’s drink to the salt of the earth
Let’s drink to the salt of the earth
Let’s think of the three thousand million
Let’s think of the humble of birth
Buvons aux travailleurs
Buvons à tous ceux d’origine modeste
Levez votre verre au bien et au mal
Buvons au sel de la terre
Dites une prière pour le simple fantassin
Ayez une pensée pour son travail à se casser les reins
Dites une prière pour sa femme et ses enfants
Qui brûlent les feux et qui labourent encore la terre
Et quand je fouille une foule sans visage
Une masse tourbillonnante de gris et de noir et blanc
Ils ne me paraissent pas vrais
En fait, ils ont l’air si étranges
Levez votre verre aux travailleurs
Buvons aux innombrables têtes
Pensons aux millions vacillants
Qui ont besoin de leaders mais qui ont à la place des petits joueurs
Ayez une pensée pour l’électeur qui reste chez lui
Ses yeux vides contemplent d’étranges spectacles de beauté
Et une parade d’escrocs en costume gris
Le choix entre le cancer et la polio
Et quand je fouille une foule sans visage
Une masse tourbillonnante de gris et de noir et blanc
Ils ne me paraissent pas vrais
En fait, ils ont l’air si étranges
Buvons aux travailleurs
Pensons tous ceux d’origine modeste
Ayez une pensée pour la racaille
Buvons au sel de la terre
Buvons aux travailleurs
Buvons au sel de la terre
Pensons aux deux milliards
Pensons à l’humble de naissance